My father was called up for his 2 years National Service in October 1935, after his 2 years National Service he remained in the Voluntary Reserve. He was called up again on 29th September 1939 with the 6 Air Force Regiment and participated in the 1939 Sepember Campaign from 01.09.30 to 17.09.39.
After the fall of Poland to the Germans and the Russians he left Poland via Romania. What happened at this time I do not know, from what I have read both the Polish Government and most of the Armed Forces fled to Romania, which was supposed to be neutral but some people were interned. Those who managed to flee escaped via the Black Sea. How he got there and with whom, I don't know but he arrived in France, and was at the Camp at Septfonds, Tarn et Garronne, South West France. Apparently he arrived here 07.02 1940, what happened between leaving Poland on the 17.09.39 and his arrival in France is a mystery. This is testified by papers signed there, though on another document he states that he did not go to France!
This camp had been an Internment Camp for Spaniards who had fled Franco's Spain. On 01.03 1940 part of the camp became a camp for Polish Forces, most were moved on to the UK. In July 1940 when the camp came under the Vichy Government and became an internment camp.
" Polonais et Français, de tout temps amis."
Depuis deux siècles, les Polonais partagent les luttes et les espoirs de la France. Leur engagement a été absolu pendant les deux guerres mondiales. Des monuments, partout sur le sol de France, rendent hommage à leur bravoure et à leur loyauté : à Neuville-Saint-Vaast (Pas-de-Calais), au cimetière polonais d'Aubérive (Marne). Place de Varsovie, à Paris s'élève une statue, œuvre du sculpteur français André Greck, commémorant l'héroïsme des polonais qui ont participé à la défense et à la libération de la France pendant le deuxième conflit mondial. Dans le grand Sud-Ouest, signalons les monuments de Pau-Idron et de Port-Vendres : ce dernier rappelle la part déterminante des aviateurs polonais intégrés à la Royal Air Force dans la bataille aérienne de 1940-1941, avec ces mots de Sir Winston Churchill : " jamais dans l'histoire tant d'hommes ont dû autant à si peu d'entre eux ".
Un édifice, à bien des égards plus modeste, s'élève aux bords du camp de Judes, près de Septfonds, dans le Tarn-et-Garonne. Il s'agit d'un simple oratoire, d'une " kapliczka ", comme en rencontre le long des routes de Pologne, et qui relèverait plutôt de l'art populaire ; il fut édifié par vingt officiers polonais détenus au camp. Ce point minuscule dans la grande histoire concentre pourtant en lui des renseignements qui ne sont pas dénués d'intérêt.
(L'oratoire, tel qu'il fut édifié en 1941, tout en bois). Qui était ces hommes et cette femme ? Comment ont-ils été amenés au camp de Septfonds ? Tout d'abord, ils venaient de Pologne, de leur patrie qu'ils avaient vu terrasser, agressée par l'armée hitlérienne le 1er septembre 1939, envahie par l'armée soviétique le 17 septembre. Aucune action militaire n'étant plus possible en Pologne, c'est ailleurs qu'il leur fallait " accomplir leur devoir de Polonais "(1). Le général Louis Faury a raconté cet exode par la Roumanie et par la Hongrie, dès octobre 1939, des masses compactes, en ordre, ou bien de petits groupes, sans armes. Tout un système d'évasion fut alors organisé, par la Yougoslavie et la Grèce, pour arriver à Modane (France) ou à Vintimille. En six mois, plus de 25 000 officiers, sous-officiers et spécialistes gagnèrent ainsi notre pays(2). Comme d'instinct, ces Polonais de notre siècle retrouvaient "
le chemin tracé par le sang de leurs aïeux et de leur pères "- celui des Emigrations de 1830 et 1863. Arrivés en France pendant les mois de la guerre, intégrés à "
l'Armée Polonaise en France ", les plus jeunes recevant une formation militaire au camp de Coëtquidan, ils participèrent à l'expédition de Norvège et aux combats qui se déroulèrent en France, "
à Saint-avold, Kirviller, Dieuz et Lagarde, à Belfort et en Bretagne ". Après l'armistice en France, dans l'été 1940, environ un quart de "
l'Armée Polonaise en France " fut évacué sur la Grande-Bretagne. Les autres soldats polonais, répondant à l'appel du général Sikorski, s'efforcèrent de gagner le sud de la France, afin de rejoindre "
la Grande-Bretagne et l'Armée Polonaise Combattante ". C'est ici que la police de Vichy les arrêta et, pour ceux qui nous intéressent, les conduisit au camp de Septfonds. Le 4 avril 1941, la direction de la Sûreté, au Ministère de l'Intérieur, faisait connaître au Préfet du Tarn-et-Garonne, sa décision "
de créer au camp de Septfonds un centre spécial destiné aux officiers des armées ex-alliées, ayant tenté de quitter la France clandestinement ".(3)
1) Les passages en italiques sont des citations du document polonais.(2) Général Louis Faury : " Pologne terrassée. L'épilogue en Roumanie (septembre-octobre 1939), Revue historique des Armées, n° 168 (sept. 1987).(3) Archives Départementales du Tarn-et-Garonne, 1W15.
My father was lucky he was moved on quickly, exactly how quickly is unclear, according to his documents he was under French command from 28.03 1940 but they also say he arrived in England on 28.03.1940 and was posted to the Aviation Training Centre, RAF Station, Eastchurch. He enlisted in the Royal Airforce Volunteer Reserve (RAFVR). On the formation of the Polish Air Force he enlisted in the Force with effect from 05.08.1940.This information is confused, some of the dates do not agree.
On the above pictures my father is the one leaning on the shed, I do not know who the others are or where it was taken.
My father was a Fitter 1/Armourer with 301 Polish Bomber Squadron on 23.07.1940! My father served with: 301 Squadron; 300 Polish Bomber Squadron; 1586 Special Duties Flight. This latter was stationed in Brindisi.
The above picture was taken in Brindisi and is published here by permission of Barry J Raymond esq. The men are; (left to right) Jozef Mierzwinski, Jan Musialik, Jozef Materna and Winzenty Luczak.